Achat immobilier à Thouaré-sur-Loire : les garanties liées à un achat sur plan

Partager sur :
Achat immobilier à Thouaré-sur-Loire : les garanties liées à un achat sur plan

L’achat sur le plan est un  procédé très avantageux et parfaitement accessible dans le secteur de l’immobilier à Thouaré-sur-Loire. Surtout recouru par les primo-accédants, il fait bénéficier de plusieurs garanties sur une durée pouvant s’allonger jusqu’à 10 ans après la livraison du bien. Voici les détails.

Les garanties offertes par le promoteur

Un achat immobilier à Thouaré-sur-Loire sur plan, soit en VEFA (Vente en l’état futur d’achèvement) se réalise auprès d’un promoteur immobilier qui dispose d’un projet de construction sur un terrain donné. L’acquisition doit s’accompagner d’une garantie venant du professionnel permettant à l’acheteur de se protéger contre une livraison qui ne vient pas. Ainsi, le promoteur doit proposer par contrat l’une des deux garanties suivantes :

  • La garantie d’achèvement par laquelle il entre en collaboration avec une banque pour que celle-ci finance les travaux s’il est dans l’incapacité de les achever par ses moyens financiers.
  • La garantie de remboursement faisant également intervenir une banque pour restituer les sommes déjà versées par l’acheteur si le promoteur se désiste du projet et qu’il l’annule.

Les garanties du constructeur

A l’instar d’un achat dans le neuf, un achat immobilier à Thouaré-sur-Loire en VEFA permet à l’acheteur de profiter de trois garanties différentes venant du constructeur engagé dans le projet. Ce sont :

  • La garantie de parfait achèvement qui a trait aux petits défauts du bien durant l’année suivant sa livraison. Cette garantie ne touche cependant pas les dommages causés volontairement ou par une usure normale.
  • La garantie de bon fonctionnement qui concerne tous les équipements qui sont fournis dans le bien à sa livraison et qui peuvent nécessiter une réparation ou un remplacement pendant les deux ans qui suivent la remise des clés à l’acheteur.
  • La garantie sur le gros œuvre, c’est-à-dire les structures principales de la maison et qui impose au constructeur de réaliser les réparations aux malfaçons et vices de construction pouvant y apparaître pendant les 10 premières années qui suivent l’achèvement des travaux.